Le mental de Nietzsche

 

1. Grande méticulosité.

2. S’observe avec une très grande minutie.

3. Il garde une extrême susceptibilité douloureuse pour tout ce qui touche au décès de son père (il avait 5 ans à la mort de celui ci). A l’occasion d’un différent avec sa mère, celle ci lui dit : " qu’il est une honte pour la tombe de son père ". Il dit d’elle et de sa sœur qu’elle ne sont que " canaille et venimeuse vermine ".

4. Grande sensibilité :

aux sons, aux bruits, véritable phonophobie

à la lumière, le soir lorsqu’il écrit, recouvre sa lampe de bureau d’une étoffe rouge. Photophobie mais paradoxalement, grand besoin de clarté, de luminosité, " mes ennemis ? les nuages "

5. Hyperesthésie affective

6. Fabuleuse envie de voyager (pas moins de 16 voyages en 7 mois en 79)

7. Anxiété permanente avec énorme sentiment de culpabilité (tant dans les phases mélancoliques que dans les phases hypomaniaques)

8. Crises d’angoisses déclenchées par tout motif émotionnel, même par un événement heureux (départ en voyage, visite d’un ami…)

9. Sentiment inexplicable de péril imminent, certitude d’un danger vital, d’une fin proche à la fois attendue et redoutée créant une grande agitation intérieure " La mort me regarde par dessus l’épaule "

10. Compatissant, larmes aux yeux en voyant souffrir un animal.

11. En société, très convivial, délicat, charmeur alors que le soir même est capable d’une extrême férocité dans ses écrits qu’il considère comme une machine de guerre.

12. Rêve fréquent et répété de vol (fly)

 

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